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il y a 8 ans
Sophie commençait à regretter d’avoir accepté l’invitation de son mari à passer un long week-end en amoureux à Barcelone. En amoureux, tu parles ! En fait, il participait à une conférence internationale et depuis leur arrivée trois jours plus tôt, elle avait passé ses journées à se balader seule dans la ville, et le soir elle était obligée de l’accompagner aux dîners organisés par les différentes sociétés clientes de sa boîte. Pas vraiment l’escapade en amoureux qu’elle avait imaginée.
En plus, ce soir-là, tandis qu’ils partageaient leur dîner avec une douzaine de businessmen bedonnants, il venait de lui annoncer que le lendemain il allait devoir se rendre à Tarragona pour rencontrer des clients et qu’il ne rentrerait que le lendemain en fin de matinée.
— Tu te fous de moi là ? Je te préviens que si tu me fais ça, demain je m’offre au premier mec qui passe.
Érica éclaté de rire, ce qui n’a fait qu’énerver Sophie encore davantage.
— Tu ne m’en crois pas capable, c’est cela ? Tu ne crois pas qu’un autre homme pourrait s’intéresser à une pauvre femme de trente-cinq ans abandonnée par son mari et qui s’ennuie comme un rat m o r t dans l’une des plus excitantes villes d’Europe ?
— Au contraire, je ne connais pas un seul homme qui refuserait une telle invitation. Mais je sais que ce genre de chasse à l’homme, ce n’est pas vraiment ton truc, tu ne crois pas ? Tu rougis comme une gamine dès qu’un homme te fait un compliment et je sais que tu es bien trop prude pour offrir aussi librement ton adorable corps à un autre que moi.
Elle détestait plus que tout qu’il la traite de prude, elle qui dans l’intimité se transformait en tigresse pour le plus grand plaisir de son mari. Et pourtant, il avait raison. Elle était maladivement timide et, pour le plus grand désespoir d’Éric, elle s’était toujours refusée à dévoiler ne fusse qu’un peu de son tempérament félin lors qu’ils se trouvaient hors du réconfortant cocon de leur chambre à coucher.
— Tu me mets au défi, c’est ça ?
— Allons Sophie, tu sais bien que tu n’en es pas capable. Si tu as tellement besoin de compagnie, je suis même prêt à engager quelqu’un qui viendra te rejoindre dans notre chambre demain et auquel tu pourras t’offrir toute la journée et… toute la nuit si tu veux.
— Espèce de salaud ! Si seulement ça pouvait être vrai, ça prouverait au moins que tu t’inquiètes un peu de ta femme. En tout cas, s’il se présente, il pourra faire de moi absolument tout ce qu’il lui plaira !
— « Parole… parole… parole… »
— Et je te promets qu’on en fera un film que tu pourras te repasser durant tes longues soirées en solitaire lorsque je t’aurai largué.
Éric a une nouvelle fois éclaté de rire avant de l’attirer vers lui et de lui dévorer la bouche dans un long baiser passionné. La colère de Sophie s’est évanouie sous l’effet du frisson de plaisir venu lui chatouiller l’entrejambe. Une heure plus tard, dans l’écrin douillet de leur chambre, ils ont fait l’amour comme deux jeunes amants, continuant à se provoquer et à s’exciter mutuellement en évoquant la journée du lendemain, Éric jouant le rôle de son amant d’un jour en adoptant un hilarant accent ibérique.
— Madamè, votrè mari est oun estoupido. Yé souis lè plous heureux des hombres.
— Vous avez raison señor. Je suis impatiente que vous me fassiez découvrir la « furia española » !
Leur corrida a duré jusqu’aux petites heures et lorsqu’Érica quitté la chambre à sept heure du matin, Sophie dormait profondément, l’esprit et le corps encore enveloppés par le souvenir de leurs étreintes. Elle s’est réveillée en sursaut lorsque la sonnerie de la porte a retenti dans la chambre. Elle a regardé le réveil pour constater qu’il était déjà dix heures. Après avoir enfilé un large peignoir éponge sur son corps dénudé encore humide de leurs ébats de la veille et des rêves érotiques qui avaient peuplé son sommeil, elle est allée ouvrir la porte de la chambre.
Elle est restée de longues secondes immobile devant la silhouette massive qui se découpait dans l’ouverture de la porte. Devant elle se tenait un homme d’une quarantaine d’année, au teint mat, à l’abondante crinière noire et dont les yeux brillants comme des charbons plongeaient dans le décolleté de son peignoir entrouvert. La surprise a brusquement fait place à la gêne et le visage de la jeune femme s’est aussitôt empourpré en découvrant le spectacle de ses appétissantes mamelles à demi dévoilée dans l’échancrure du peignoir. D’un geste nerveux elle a refermé le vêtement avant de se dissimuler derrière la porte entrouverte.
— Oui ? C’est pourquoi ?
— Bonjour, je ne vous réveille pas, j’espère ? Mon nom est Ramon et vous devez être Sophie, c’est bien cela ?
Sophie ne comprenait rien à ce que l’inconnu lui disait. Comment connaissait-il son nom ? Que faisait-il devant sa chambre à dix heures du matin ?
— C’est votre mari qui m’envoie. On serait plus à l’aise dans la chambre pour en parler, vous ne croyez pas ?
Elle l’a laissé entrer, incapable de penser à autre chose qu’à ce qu’il venait de lui dire : Éric l’avait envoyé ! Il l’avait fait, il avait osé ! Elle ne pouvait croire qu’il l’ait prise au mot dans le seul but de lui prouver qu’il avait raison et qu’elle n’oserait jamais mettre sa menace à exécution. Ramon se tenait au milieu de la pièce, devant le lit défait qui portait encore les traces humides et parfumées de leurs ébats. Il souriait et Sophie ne pouvait lutter contre le feu qui continuait à lui enflammer les joues. Elle tirait nerveusement sur la ceinture de son peignoir comme si elle craignait que le vêtement ne s’ouvre brusquement, découvrant ses tétons dressés et sa petite chatte tremblant d’angoisse autant que d’excitation.
— Qu’est-ce que vous voulez ?
— Votre mari m’a parlé du défi que vous lui avez lancé hier soir en promettant de vous livrer au bon plaisir du premier homme qui se présenterait devant vous. Et il m’a demandé si j’accepterais d’être cet homme. Il m’a aussi dit qu’il y avait peu de chance que cela arrive, que vous alliez certainement vous dégonfler vu que, d’après lui, vous êtes bien trop… coincée pour oser vous lancer dans ce genre d’aventure.
— Coincée ! Il a dit « coincée » ?
— Ce sont ses propres paroles.
— Le salaud ! Il va me le payer.
— Écoutez, vous êtes très jolie, superbe même, adorablement fraîche, juteuse et appétissante comme une orange de Valencia, mais vous n’avez qu’un mot à dire et je quitte la chambre. Mais je serai obligé d’en référer à votre mari qui aura beau jeu de vous démontrer qu’il avait raison, et que vous êtes en effet un peu trop… coincée.
Le cœur de Sophie battait à cent à l’heure et son cerveau menaçait d’exploser sous un tourbillon de pensées contradictoires. Le plus simple était de renvoyer Ramon à ses señoritas et d’attendre le lendemain pour avoir une sérieuse conversation avec Éric. Mais elle ne pouvait s’empêcher de penser à ce mot de « coincée » dont il l’avait qualifiée et qui résonnait de plus en plus fort dans sa tête. C’est donc comme ça qu’il la voyait : une épouse aimante et… coincée. Elle a eu envie de pleurer mais elle a réussi à se retenir et plongeant son regard dans celui de son visiteur.
— Et si j’accepte… que comptez-vous faire ?
— Absolument tout ce qu’il me plaira. N’est-ce pas ce que vous avez dit à votre mari ?
Cette fois elle était réellement coincée ! Elle pouvait sans doute accepter l’idée de passer la journée en compagnie de cet homme plutôt séduisant, mais au ton de sa voix, elle devinait qu’il n’avait pas seulement l’intention de lui faire découvrir les Ramblas ou le Barrio Gotico.
— Et pourquoi vous ferais-je confiance ?
— Il n’y a pas moyen de le savoir, vous devez accepter ma parole. Mais vous pensez bien que si votre mari m’a demandé de lui rendre ce service, c’est qu’il me fait confiance.
Éric. Une nouvelle fois Éric. Elle avait beau se trouver seule à moitié nue devant cet homme élégant, à la fois inquiétant et attirant, c’était encore l’image et la pensée de son mari qui venait lui troubler l’esprit. C’est lui qui la mettait au défi, lui qui avait choisi de donner chair à leur délire de la veille.
— Très bien, si c’est qu’il veut, ce salaud, eh bien je vais le lui donner.
— Très bien. Je dois vous avouer que j’aime mieux ça. J’aurais été terriblement déçu si j’avais dû vous quitter aussi rapidement.
Sophie s’est sentie rougir une nouvelle fois, tandis que Ramon fouillait la petite mallette qu’il avait amenée avec lui pour en sortir un petit caméscope.
— Vous aviez prévu de filmer vos ébats, n’est-ce pas ?
— … euh… oui…
— Très bien. Alors, si vous commenciez par vous déshabiller ?
— …Euh… quoi ? Là ? Tout de suite ?
— Oui, pourquoi pas ? Vous êtes décidée à me laisser faire tout ce qu’il me plaira, n’est-ce pas ?
— Euh… oui. Mais j’aimerais prendre une douche avant…
— Vous êtes très bien comme ça. D’ailleurs, il n’y a rien de plus excitant qu’une petite chatte portant encore la trace parfumée de ses récentes extases. Allez, ne me faites pas attendre.
Sophie n’arrivait toujours pas à croire qu’elle ait accepté de se retrouver dans cette situation. Elle serrait nerveusement la ceinture de son peignoir tout en plongeant ses yeux implorants dans l’objectif de la caméra, comme si c’était Éric qui se trouvait derrière le caméscope, Éric qui allait surgir d’un instant à l’autre pour la prendre dans ses bras et mettre fin à ce défi stupide qu’ils s’étaient lancés.
Mais rien ne s’est passé. Alors, dans un geste mécanique et presque inconscient, elle a tiré sur le bout de la ceinture dont le nœud s’est brusquement défait. Le peignoir entrouvert a révélé le sillon séparant ses seins agités par sa respiration nerveuse, puis la blancheur de son ventre tremblant d’excitation et enfin le duvet doré dissimulant les lèvres brillantes de sa petite chatte.
Tout en continuant à filmer, Ramon s’est approché pour poser sa main sur les épaules de Sophie, écartant les pans du peignoir pour le faire glisser lentement le long des bras de la jeune femme jusqu’à ce qu’il finisse par s’écraser à ses pieds, laissant Sophie entièrement nue, à quelques centimètres à peine de cet inconnu qui promenait sa caméra sur chaque centimètre de ses chairs frémissantes.
Ramon s’est mis à la caresser doucement, tendrement, jusqu’à ce que la tension qui paralysait le corps Sophie finisse par disparaître et qu’elle s’abandonne au ballet délicat de ces doigts partis à la découverte de son corps brûlant d’excitation. Il a soupesé ses seins, joué avec ses tétons dressés, parcouru les courbes de ses hanches avant de se baisser pour approcher son visage du petit animal au pelage brillant et frémissant.
Il n’a pas eu besoin d’insister pour qu’elle écarte les cuisses afin que l’objectif de la caméra puisse capturer les éclats irisés des dentelles de chair tremblantes d’excitation sous les boucles dorées de son buisson. Les yeux fermés, Sophie s’est laissé envahir par les sensations intenses remontant de sa chatte, par le souffle chaud de son partenaire entre les chairs humides de ses petites lèvres, par les caresses de ses doigts glissant entre les boucles trempées, par la pointe de sa langue parcourant sa crevasse béante et frémissante de désir. Sophie n’a rien pu faire pour contenir les spasmes aussi brusques qu’inattendus qui sont venus lui secouer le corps en déclenchant un tsunami de jouissance qui s’est mis à déborder de sa caverne.
La jeune femme n’arrivait pas à croire qu’elle puisse jouir aussi intensément alors que les doigts et la langue de Ramon n’avait fait qu’effleurer les voiles protégeant l’entrée de sa grotte. Les yeux grands ouverts, elle regardait avec horreur et fascination le bouillon de jouissance qui jaillissait de sa chatte et que Ramon dégustait avec gourmandise.
— C’est bien, Sophie. Si tu racontais à ton petit mari ce que tu ressens en cet instant ?
Le corps tremblant, Sophie a plongé ses yeux brillants dans l’objectif de la caméra tandis que les doigts et la langue de Ramon continuaient à lui fouiller la chatte en déclenchant des vagues de plaisir de plus en plus intenses. Les images de son corps nu et de son sexe débordant de désir ont envahi son esprit. Comment en était-elle arrivée là ? Comment Éric, son mari, avait-il pu l’abandonner aussi cruellement aux caprices de cet homme ? Pour la première fois des larmes se sont mise à couler le long de ses joues.
— J’espère que tu es content, espèce de salaud. C’est cela que tu voulais, n’est-ce pas ? Voir ta femme « coincée » jouir sous les caresses d’un autre. Eh bien, comme tu vois, tu as réussi. J’ai joui comme jamais sous les caresses de cet homme que tu as choisi de m’envoyer et auquel tu m’as offerte comme une vulgaire marchandise.
Ramon s’est relevé, gardant sa caméra braquée sur le visage brûlant de Sophie, effaçant tendrement ses larmes.
— C’est bien, Sophie. À présent, si tu veux bien me rendre la pareille…
— Euh… c’est-à-dire que…
— Allons, souviens-toi Sophie, « tout ce qu’il me plaira », c’est bien ce que tu as promis n’est-ce pas ? Alors tu vas t’agenouiller et lui monter que tu n’es pas cette femme coincée qu’il t’accuse d’être.
Les yeux fixés dans l’objectif de la caméra, Sophie a hésité durant de longues secondes. La fellation n’était pas vraiment sa tasse de thé. Et si en de rares occasions elle s’est résignée accorder cette petite gâterie à Éric, c’était plus pour le plaisir de ce dernier que pour le sien. Pour sa part, elle trouvait cette pratique dégradante, et pour tout dire, quelque peu répugnante. Mais à cet instant, elle n’avait qu’une envie : faire payer Éric et lui prouver qu’elle n’était aussi coincée qu’il le pensait. Alors, elle a fini par s’agenouiller et par défaire nerveusement la ceinture, le bouton et la fermeture éclair du pantalon de Ramon, avant de sortir un imposant chorizo devant lequel elle a eu du mal à retenir un « oh ! » de surprise.
— Allez, vas-y. Suce-le et montre à ton homme comment tu t’y prends.
La jeune femme a eu un haut-le-cœur en approchant ses lèvres du gland épais et brillant dressé devant elle et en sentant son parfum animal venir lui chatouiller les narines. Un goût âcre et salé lui a envahi la bouche lorsqu’elle a enfin enfourné l’imposant sucre d’orge. Mais, alors qu’elle s’apprêtait à reculer, la main de Ramon est venue se poser sur sa tête l’obligeant à avaler les trois quart de la longue tige.
— Vas-y, déguste ton berlingot ma belle. C’est bien… prends-moi bien au fond de ta gorge… oui comme ça, et n’arrête pas de regarder la caméra, je veux que ton mari puisse apprécier les talent de suceuse de sa petite femme. Pense que c’est sa queue si ça peut t’aider.
Sophie aurait bien voulu, mais il n’y avait aucune comparaison entre le frêle roseau d’Éric et le tronc épais et interminable de Ramon qui lui envahissait la bouche et menaçait de l’étouffer à chaque fois qu’il l’enfonçait profondément dans sa gorge.
— Oui… c’est bien… continue… je crois que je ne vais pas tarder à jouir.
— Non !
La jeune femme s’est reculée brusquement lorsqu’elle a senti le membre de Ramon trembler dans sa bouche. Elle n’avait jamais accepté qu’Éric jouisse dans sa bouche et elle n’était pas prête à faire une exception pour Ramon. Les bordées de sperme chaud et collant sont venues s’écraser sur son visage et sur ses seins tandis qu’elle fixait la caméra d’un regard brillant d’excitation autant que de colère, un regard qui s’adressait à Éric et à ce jeu stupide et dangereux dans lequel il l’avait entraînée.
— En voilà des manières. Tu n’as pas honte ? La semence d’un homme est bien trop précieuse pour la traiter ainsi. Ne me dis pas que tu te comportes de la même façon avec ton mari ?
— Si… Je… je ne peux pas… c’est trop dégoûtant.
— Je crois qu’il va falloir t’apprendre les bonnes manières Sophie, à moins que tu ne veuilles rester la femme coincée que ton mari te reproche d’être.
Ramon a posé la caméra sur le petit bureau, la braquant sur le fauteuil où il est allé s’asseoir en entraînant Sophie par la main et en la f o r ç a nt à s’allonger en travers de ses cuisses.
— … Qu’allez-vous faire ? Vous ne pensez quand même pas que…
Trop tard. Sophie a laissé échapper un cri de surprise autant que de douleur lorsque la large main de Ramon s’est écrasée sur ses fesses. Il lui était déjà arrivé de prendre son pied en s’abandonnant au plaisir de la fessée lors de ses ébats avec Éric. Mais là, allongée nue sur les cuisses d’un inconnu, elle ne ressentait rien d’autre que la honte et l’humiliation, agitant frénétiquement ses jambes au rythme de claques résonnant dans la chambre, accompagnées par ses cris de détresse.
— Si tu continues à hurler comme ça, tu vas finir par attirer l’attention. Tu n’as pas envie que tout l’hôtel soit au courant de nos petits arrangements, pas vrai ? Alors laisse-toi faire, je suis sûr que tu vas finir par y trouver du plaisir.
Il avait raison, mais Sophie se serait fait couper la langue plutôt que de l’avouer. Alors, elle a serré les dents en sentant sa petite chatte s’inonder à mesure que ses fesses prenaient une délicieuse coloration de soleil couchant. Il l’a fessée pendant cinq longues minutes, alternant les claques et les caresses sur ses chairs brûlantes et au fond de son sillon débordant de plaisir. Puis, il lui a demandé de se relever pour lui permettre de filmer en gros plan les deux astres rougissants.
— C’est bien. Mais la prochaine fois que tu prendras mon sexe dans ta bouche, tu devras avaler mon sperme jusqu’à la dernière goutte, c’est compris ? En attendant, va prendre une douche, et ensuite je t’emmènerai visiter Barcelona.
Sophie était sur un nuage. Elle venait de jouir pour la deuxième fois et elle n’arrivait pas à croire à ce qui lui arrivait. Même si elle en voulait toujours à Éric, elle ne pouvait nier qu’elle commençait à trouver cette aventure plutôt intéressante. Alors, avant de disparaître dans la salle de bain, elle a souri à la caméra avant de lui envoyer un baiser.
Sous le jet bouillonnant de la douche, Sophie pensait à Éric, mais aussi et surtout à Ramon. Même si elle aurait aimé chasser cette idée de son esprit, elle ne pouvait s’empêcher d’espérer qu’il vienne la rejoindre pour prendre enfin possession de son corps brûlant et de sa petite chatte miaulant de désir. Alors, lorsque la porte de la cabine s’est ouverte pour révéler le corps nu et musclé de son séduisant hidalgo et son sexe dressé enveloppé dans un étui de latex mauve, Sophie n’y a pas réfléchi à deux fois, enroulant ses bras autour du cou de Ramon et l’entraînant sous le jet bouillonnant pour lui dévorer la bouche dans un baiser passionné.
Ils sont restés de longues minutes enlacés, les jambes de Sophie nouées autour de la taille de son partenaire, le con traversé par l’épais gourdin sur lequel elle rebondissait v i o l emment en gémissant de plaisir. Au bout de dix longues minutes le sexe de Ramon s’est mis à trembler nerveusement, gonflant l’enveloppe de latex de puissantes bordées de foutre. Puis, lorsqu’il a fini par reposer la jeune femme sur le sol trempé de la douche, elle l’a regardé en souriant avant de le récompenser de ses efforts par un baiser à la fois tendre et passionné.
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PRECISIONS
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Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
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